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Contexte du tour    Sur les traces de "Mike Donner" le flic héro de quelques polars de Nicolas Feuz et notamment de la trilogie  Massaï, je me suis lancé sur le parcours me conduisant au col des Sagnettes. Ce lieu est le point de passage entre Couvet et la Brévine mais plus encore à 20 minutes à pied du col, la glacière du Monlési nous replonge dans "Ilpayiani", le 3ème livre de la trilogie, où il s'est passé des éléments déterminants...
 Massaï, je me suis lancé sur le parcours me conduisant au col des Sagnettes. Ce lieu est le point de passage entre Couvet et la Brévine mais plus encore à 20 minutes à pied du col, la glacière du Monlési nous replonge dans "Ilpayiani", le 3ème livre de la trilogie, où il s'est passé des éléments déterminants...       
Dans le canton, il y a mine de rien pas mal de bosses et d'aucun les appels cols, ou pas...Les Sagnettes n'avait encore jamais été fait que ce soit en voiture ou à vélo, c'est donc tout naturellement que j'ai adopté ce tracé pour ce lundi de Pentecôte mais fois agréable en température.
 Rien de particulier sur la route du vallon, tout d'abord en abordant Rochefort puis le tunnel de la Clusette, propice aux refroidissements car il y a quelques degrés de moins et il peut y avoir un choc thermique durant la bonne minute de descente à tombeau ouvert. Ensuite, Noiraigue avec un passage sur les routes bordant l'Areuse qui me conduit à Travers puis Couvet. De là, c'est la grimpée par une petite route raide entre des résidences convassones puis je rejoins la route cantonale. La montée est constante mais pas dramatique du tout me laissant admirer l'étendue du vallon de moins en moins encaissé au fur et à mesure que je prends de l'altitude. Quelques motards qui me rappellent le "fantôme" essayant d'échapper au commissaire Garcia (c.f. Ilpayiani).
Rien de particulier sur la route du vallon, tout d'abord en abordant Rochefort puis le tunnel de la Clusette, propice aux refroidissements car il y a quelques degrés de moins et il peut y avoir un choc thermique durant la bonne minute de descente à tombeau ouvert. Ensuite, Noiraigue avec un passage sur les routes bordant l'Areuse qui me conduit à Travers puis Couvet. De là, c'est la grimpée par une petite route raide entre des résidences convassones puis je rejoins la route cantonale. La montée est constante mais pas dramatique du tout me laissant admirer l'étendue du vallon de moins en moins encaissé au fur et à mesure que je prends de l'altitude. Quelques motards qui me rappellent le "fantôme" essayant d'échapper au commissaire Garcia (c.f. Ilpayiani).
Le passage dans un tunnel "carré" marque la fin proche de l'ascension, puis à 1122m après la fromagerie après la plaquette des "Sagnettes". De la une flèche pour sentiers pédestres marque le départ pour la glacière do Monlési. Par des chemins boueux, je cherche ma route tantôt en roulant tantôt en poussant le vélo parmi forêts et pâturages
Effectivement après 20 minutes de marche apparaît des pancartes explicatives sur le site des glacières "éternelles" avec ses 3 puits comme décrites dans le bouquin.
 Arrivé proche du premier puit, je me trouve confronté à une chorale de promeneurs et promeneuses zurichoises qui chantent des chansons en français style "..auprès de ma blonde qu'il fait bon..." je trouve le décor presque cinématographique et décalé mais c'est drôle. Après être allé mettre mon nez dans le rou du puit depuis le dessus d'un tronc issu d'un arbre déraciné je reviens discuter avec une chanteuse du groupe qui s'intéresse à la raison de ma visite que je lui livre en lui transmettant les références de Nicolas Feuz. Une lectrice de plus à coup sûr...:)
Arrivé proche du premier puit, je me trouve confronté à une chorale de promeneurs et promeneuses zurichoises qui chantent des chansons en français style "..auprès de ma blonde qu'il fait bon..." je trouve le décor presque cinématographique et décalé mais c'est drôle. Après être allé mettre mon nez dans le rou du puit depuis le dessus d'un tronc issu d'un arbre déraciné je reviens discuter avec une chanteuse du groupe qui s'intéresse à la raison de ma visite que je lui livre en lui transmettant les références de Nicolas Feuz. Une lectrice de plus à coup sûr...:)
La glacière est accessible par une échelle puis à l'aide de crampon à glace, il faut donc être bien équipé pour y descendre ce qui n'était pas mon cas avec mes chaussures de vélo. Je ne tente pas le diable ! Tiens pour une fois je me découvre raisonnable, c'est bon signe...:)
Le retour sera fait par la Brévine puis les petits chemins et routes de campagne du fond de la vallée de la Sagne puis le Joratel, Jogne Tomasset et la Tourne. Un beau tour pas avec quelques temps forts.
 La Glacière souterraine de Monlési (ou Grotte de Monlési) est une cavité dans le canton de Neuchâtel sur le territoire de la commune du Val-de-Travers. Le fond de la cavité est recouvert d'une couche de glace de plusieurs mètres de profondeur. L'ensemble du site est classé comme réserve naturelle. Dans les années 1950, la glace a été exploitée industriellement pour le marché local.
La Glacière souterraine de Monlési (ou Grotte de Monlési) est une cavité dans le canton de Neuchâtel sur le territoire de la commune du Val-de-Travers. Le fond de la cavité est recouvert d'une couche de glace de plusieurs mètres de profondeur. L'ensemble du site est classé comme réserve naturelle. Dans les années 1950, la glace a été exploitée industriellement pour le marché local.
      La Grotte de Monlési constitue la plus importante glacière naturelle de Suisse avec un volume de glace d'environ 6'000m3 en été. La cavité est une doline karstique qui comporte 3 puits. Ils s'ouvrent sur une grande salle d'environ  40m de long. Le phénomène de la formation de la glace est rendu possible par l'accumulation de la neige au fond de la cavité en hiver. Celle-ci se transforme en glace au cours des saisons car la température moyenne avoisine zéro degré même en été. Une couche compacte de glace revêt le sol. En de nombreux endroits, des stalagmites et des stalactites de glace se sont formées. Un tunnel naturel s'enfonce une quinzaine de mètres sous la glace. Le long des parois, l'épaisseur de la glace s'amoindrit. Des études tendent à démontrer que le volume de glace diminue d'année en année depuis 2001
40m de long. Le phénomène de la formation de la glace est rendu possible par l'accumulation de la neige au fond de la cavité en hiver. Celle-ci se transforme en glace au cours des saisons car la température moyenne avoisine zéro degré même en été. Une couche compacte de glace revêt le sol. En de nombreux endroits, des stalagmites et des stalactites de glace se sont formées. Un tunnel naturel s'enfonce une quinzaine de mètres sous la glace. Le long des parois, l'épaisseur de la glace s'amoindrit. Des études tendent à démontrer que le volume de glace diminue d'année en année depuis 2001
 
    
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