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 Le samedi 14.8.2021, étapes N°11/14 de la "Panorama Bike" Profil de l'étape :
Longueur : 80 km | temps sur la selle : 5h54'10'' | temps du parcours : 8h45'24''
Montée : 1671 m | Descente : 1544 m
Techniquement : Difficile | Physiquement : Difficile (Difficulté Garmin : 195.9)Une grosse étape pour la fin de la semaine faite avec Cédric, un cycliste averti et bien entraîné, de manière à pouvoir marquer en duo cette fin de vacances scolaires qui fut excellente durant 11 jours sur 42 au moins puisque j'ai pu faire sans pluie et avec de la chaleur 11 jours de vélo dont 2 fois 5 consécutifs. Quelle chance néanmoins d'avoir pu choisir les bonnes périodes durant la totalité des vacances et ceci en toute liberté.
La journée a commencé à 8h19, heure d'arrivée du train de Cédric en gare de Thoune.
 S'en est suivi une mise en bouche tranquille nous servant d'échauffement, ceci au travers de routes campagnardes nous faisant découvrir à quel point nos amis suisse allemands possèdent un magnifique patrimoine de fermes et de plus bien fleuries. Ces routes paisibles nous ont conduit à une exploitation forestière marquant le début d'une montée qui allait nous conduire au sommet du Gurnigel à 1608 m. D'abord sur une route bitumeuse nous avons grimpé à l'ombre durant quelques kilomètres dans des pentes accusant une dizaine de pourcents puis nous avons quitté la route pour nous engager sur un chemin caillouteux dont la pente ne variait pas beaucoup de celle de la route que nous venions de laisser derrière nous.
S'en est suivi une mise en bouche tranquille nous servant d'échauffement, ceci au travers de routes campagnardes nous faisant découvrir à quel point nos amis suisse allemands possèdent un magnifique patrimoine de fermes et de plus bien fleuries. Ces routes paisibles nous ont conduit à une exploitation forestière marquant le début d'une montée qui allait nous conduire au sommet du Gurnigel à 1608 m. D'abord sur une route bitumeuse nous avons grimpé à l'ombre durant quelques kilomètres dans des pentes accusant une dizaine de pourcents puis nous avons quitté la route pour nous engager sur un chemin caillouteux dont la pente ne variait pas beaucoup de celle de la route que nous venions de laisser derrière nous. 
A la sortie de la forêt on s'est arrêté pour changer les gourdes sur nos supports marquant ainsi les 2 heures de selle environ. On se fait une petite mise en scène qui devrait se voir sur la vidéo en ligne... et on remet l'ouvrage sur le métier. 
Dans une des rares parties de la montée à ciel dégagé, on aperçoit la "Berghaus" qui est l'endroit fixant notre premier objectif. Ce restaurant ressemblant à un "nid d'aigle" est à quelques mètres près le sommet du col et ce sera aussi le lieu où on se posera pour une première petite panachée et nous mangeront le "casse-croute" "sauvé" du déjeuner. Un sandwich "saumon-fromage" pour 2 personnes sera consommé dans la partie self-service...oui Monsieur s'il vous plait...:)
 Bercé (ou pas...) par l'ambiance musicale, style motard des années 1980 avec comme hits phares AC-DC et Europe des belles années nous nous délectons encore un peu des beautés de la chaîne du Gantrich avant de se remettre en selle pour la deuxième partie du trip à savoir le "léchage" des crêtes par des chemins de promeneurs avec quelques fois de petites montées sèches nous obligeant à poser le pied parterre.
Bercé (ou pas...) par l'ambiance musicale, style motard des années 1980 avec comme hits phares AC-DC et Europe des belles années nous nous délectons encore un peu des beautés de la chaîne du Gantrich avant de se remettre en selle pour la deuxième partie du trip à savoir le "léchage" des crêtes par des chemins de promeneurs avec quelques fois de petites montées sèches nous obligeant à poser le pied parterre. 
Au passage j'ai passé mon 150 ème col qui est ici un col de muletier non accessible par la route, c'est le Horbuelpass à 1575 m d'altitude.
Après cet intermède, une partie sport nous attendait. La descente qui se fit sur des chemins rocailleux à forte pente faisant chanter les freins de Cédric ou également sur les "Wanderweg" tellement bosseler que j'avais l'impression d'avoir une vue "stroboscopique" du paysage qui défilait tellement l'image se dérobant sous mes pieds était instable, c'était limite propice au "soleil" (figure acrobatique) qui en l'occurrence ne manquait pas.
La dernière partie avant Zollhaus se fit sur une route bitumeuse rapide et ce fut sans difficulté que nous sommes arrivés au début de notre dernière difficulté du jours, à savoir monter sur le lac noir le long de la "Singine chaude" qui prend sa source au lac noir et qui est synonyme de fin d'étape officielle.
Une petite anecdote s'impose. Demandant notre chemin à 2 jeunes cyclistes ils nous ont appris qu'ils dé siraient faire les crêtes d'où nous venions. Le gars nous dit : "oui il ne doit y avoir que 800 m..." donc ça ne lui posait apparemment pas de problème. Sachant qu'ils feraient probablement ce que nous venions de faire mais à l'envers, il était de notre devoir moral de les informer de la difficulté de la tâche qui les attendait et surtout du temps qu'ils allaient passer à porter et pousser leur vélo. Vu qu'ils n'avaient pas l'air effrayé c'est qu'ils étaient soit inconscients soit stupides ou peut-être les deux. L'histoire ne dit pas si les jeunes tourtereaux sont arrivés en haut et si leur couple a résisté au séisme que constituait forcément les efforts consentis pour l'ascension. Leur vie privée ne nous regarde pas...:)
siraient faire les crêtes d'où nous venions. Le gars nous dit : "oui il ne doit y avoir que 800 m..." donc ça ne lui posait apparemment pas de problème. Sachant qu'ils feraient probablement ce que nous venions de faire mais à l'envers, il était de notre devoir moral de les informer de la difficulté de la tâche qui les attendait et surtout du temps qu'ils allaient passer à porter et pousser leur vélo. Vu qu'ils n'avaient pas l'air effrayé c'est qu'ils étaient soit inconscients soit stupides ou peut-être les deux. L'histoire ne dit pas si les jeunes tourtereaux sont arrivés en haut et si leur couple a résisté au séisme que constituait forcément les efforts consentis pour l'ascension. Leur vie privée ne nous regarde pas...:) 
 Après l'arrivée au lac noir nous validons d'un commun accord les qualificatifs de l'étape qui suggérait un "techniquement difficile" et "physiquement difficile".
Après l'arrivée au lac noir nous validons d'un commun accord les qualificatifs de l'étape qui suggérait un "techniquement difficile" et "physiquement difficile". 
La panachée dans un restaurant un peu en marge de la masse populaire qui s'agglutinait sur la plage en bout de lac nous fit apprécier ce moment furtif quand les bulles de la petite mousse viennent frétiller sur les parois du gosier remettant les petits plaisirs de la vie bien qu'éphémère, au centre notre attention.
D'un commun accord nous prenons l'option d'un retour à Fribourg par la route à la meilleure allure que je puisse avec mes développements qui ne me donnent que peu souvent le loisir de taquiner les 30 km/h. Mais pour ce coup-là mon mentor-rouleur m'a ouvert la voie pour me donner l'occasion de "sucer" sa roue jusqu'à la banlieue fribourgeoise sur un parcours très roulant de type faux plat descendant.
A la gare nous avons encore assouvi quelques besoins "culinaires" étanchant également notre soif avant de prendre chacun un train différent, notre destination finale différant quelque peu.
Une journée bien remplie sous un soleil omniprésent...ou presque puisque j'ai été rincé mais gentiment depuis la gare de Neuchâtel jusqu'à Peseux.
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