Le col de la Croix est un col de Suisse culminant à 1 778 mètres. Il relie Villars-sur-Ollon aux
Diablerets, deux stations touristiques du canton de Vaud. Par son versant ouest, la route a une longueur de 18 kilomètres et une déclivité maximale de 13 %. La nouvelle route fut inaugurée le 27 septembre 1971.
Le Tour de France 1997 a emprunté ce col (alors classé en 1re catégorie) par son versant ouest lors de sa 16e étape reliant Morzine à Fribourg. C'est le coureur colombien José Jaime Gonzalez qui l'a franchi en tête.
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| Altitude | 1778 m | |
| Massif | Alpes bernoises | |
| Latitude Longitude | 46°19' 27″ Nord 7° 07' 34″ Est |
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| Pays | |
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| Ascension depuis | Ollon | Les Diablerets |
| Déclivité moy. | 6,8 % | 7,3 % |
| Déclivité max. | 13 % | 8,9 % |
| Kilométrage | 18,5 km | 8,4 km |
| Accès | route | route |
| Fermeture hivernale | oui | |
Le 25 septembre 2013, j'ai poussé le "bouchon" à passer mon mercredi à faire une dernière grande ascension de l'année 2013 comme pour clore ma saison en beauté. Le col de la Croix (VD) a été mis au menu.
Ayant parqué à Ollon, dans une des nombreuses petites ruelles (à s'y perdre) je suis parti à 9h45 pour prendre la pente via Villars.
Le trafic n'était pas négligeable et la vue était magnifique, les dents du midi me faisant des clins d'oeil à chaque virage.
Arrivé à Villars après 1h15 de route, j'ai passé en revue la station de long en large pour trouver finalement l'ouverture menant au col de la Croix. J'ai passé non loin de la gare, devant le magasin de sport des Daetwiller, champion de ski et médaillé de bronze au JO de 1968 pour Jean-Daniel.
J'ai rencontré une dame qui en m'indiquant le chemin pour le col de la Croix m'a fait remarquer que c'était raide et elle me conseillait de prendre le télécabine...rien pigé...!
Depuis Villars la montée est raide au départ puis un petit plat pour admirer la vue et ensuite la pente est constante et soutenue jusqu'en haut. Arrivé au sommet la vue est magnifique et panoramique. Un parc et
une petite trinquette attendent les assoifés. Une sculpture de loup dans des troncs vient mettre une touche artistique à ce sommet. Un motard suisse allemand me prend en photo devant la panneau du col avant la plongée sur les Diablerets. La route secoue terriblement, les tacons nombreux rendent la descente incomfortable. L'arrivée au Diablerets est chouette et les nombreux chalets typiques mettent une note rustique à ce coin magnifique.
La descente pour rejoindre Aigle est classique et c'est la même depuis le Sepey, que j'avais faite 4 jours auparavant.
Dans le labyrinthe des rues d'Ollon je retrouve ma voiture qui m'avait sagement attendue.


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