Nous voici au début mai 2021 d'attaque pour la 4ème édition de bike to work CPLN. Pour la 2ème année consécutive, le challenge va s'étaler sur 2 mois mais contrairement à l'an passé qui nous avait mobilisé durant les mois de septembre et octobre, ce sera mai et juin pour cette édition renouant ainsi avec la tradition.
Idéalement les mois de mai et juin doivent être cléments mais pour 2021 force est de constater que rien n'est comme d'habitude, la météo incitant plus les grenouilles à sortir que les cyclistes.
La composition de l'équipe a un peu évoluée cette année par le fait que notre collègue Pierre s'est vu "assigné à résidence" pour sa profession en dispensant un télé-travail énergivore mais indispensable pour garantir sa santé, étant personne à risque. Le virus du COVID-19 a eu cette année raison de sa participation à "Bike to Work" mais ce n'est que partie remise.
Après un "appel d'offre sportif" sans protocole en salle des maîtres un écho très favorable a été donné par Sylvie qui s'est lancée le challenge d'intégrer notre équipe. Tous étions ravis de panacher notre équipe d'un quart de féminité ce qui nous conférera une conotation un peu moins machiste...:)
Le choix du nom de l'équipe a été fait en synthétisant les forces en présences: Qui dit vélo dit "cale-pieds", qui dit Cédric dit "Mr flux-tendu", toujours à la "bourre" et qui dit Daniel dit "jeu de mots".
Le nom de l'équipe des "Cales en bourre" coulait donc de source et pour encore en ajouter une couche, le LOGO de l'équipe trouvé sur le net avec un cycliste remplissant son bidon au pi d'une vache ne pouvait pas mieux symboliser le "couler de source"...:). Benoît toujours fidèle complète comme chaque année le carré d'as des rouleurs du CPLN.
Après cette brève présentation voici quelques flashs sur cette édition vu des yeux du "capitaine".
Cédric nous informe à 8h du matin qu'il a commandé un maillot de "Bike to work" sur le shop du site...Aussitôt germe en une fraction de seconde l'idée que nous pourrions en faire de même pour l'équipe et de plus il est possible d'y aposer un LOGO qui pourrait être celui de l'école et quoi de plus logique alors que de solliciter le sponsoring de celle-ci ?
La question posée aux responsables de l'école Ludovic et Martine a été ainsi formulée:
"Le CPLN est-il prêt d'ouvrir les cordons de leur bourse et sponsoriser nos maillots de l'équipe des « Cales en bourre » à hauteur de CHF 300.- (5 x CHF 60.-) en associant son LOGO (CPLN ou Pôle) à celui de « Bike to work » (cf image en bas de cet email).
Avec tous les apéros que nous n'avons pas eu le droit de faire durant le COVID, il doit bien y avoir un surplus financier à ponctionner pour une noble cause.
Pour une fois que le sport passerait avant la « bouteille » ce serait drôlement bien apprécié… (ndlr : Cette considération n'implique que son rédacteur…).
La commande devant s'effectuer jusqu'au 9 mai, je sollicite de ta part une réponse rapide que je souhaite allant dans le sens de notre engagement physique qui n'a d'égal que notre engagement professionnel.
Merci pour ta réponse ou de soumettre la demande à qui de droit."
Il faut croire que le concept a séduit puisqu'en un temps record de 2 jours nous avons rassemblé toutes les autorisations et LOGO officiel ce qui a permis à Cédric de passer la commande des 5 maillots nécessaires pour équiper notre team (Sylvie, Pierre, Cédric, Benoît, Daniel).
Nous devions absolument passer la commande avant le vendredi soir pour est certain de les recevoir avant la fin de "Bike to Work".
Ce 1er challenge a été réalisé avec l'accord et la bonne volonté de toutes les parties en présence et de nos instances supérieures. Merci à Martine pour les finances, Ludovic pour son soutien, Olivier pour le LOGO et Cédric pour la commande.
Le mois de mai ayant mal débuté au niveau de la météo, Sylvie a tout de suite vu que sans garde-boues avant et arrière ça n'allait pas le faire...Un petit tour chez Ochsner-sport et l'affaire était réglée. La pluie n'était plus un problème... ou presque. En guise de "boule de Cristal" pour pouvoir avoir l'oeil sur l'avenir proche de quelques secondes Sylvie s'est équipé d'un rétroviseur, arme indispensable à l'anticipation urbaine.
Les paysages et la configuration du terrain sont différents qu'on vienne de l'est ou de l'ouest. 2 photos imageant quelque peu le parcours quotidien de Sylvie ont été prise mettant en valeur la piscine chère à notre canadienne de l'équipe qui si un organisateur voulait bien se lancer, serait prête à faire un "crowl to work" tellement l'eau fait partie de ses passions.
Un étang trop chou s'est présenté également à son objectif symbolisant le dépaysement possible dans notre région à quelques coups de pédales de nos lieux d'habitation. Notre région a des ressources extraordinaires, il suffit de prendre un peu de temps pour aller à leurs rencontres.
Toujours à l'affût de réaliser ses petites spécialités "du chef", Cédric a préféré contempler la région de Wavre en réparant son pneu crevé plutôt que de se poser sur un banc en buvant une petite "mousse", ça m'étonne de lui...mais c'est son choix...ou pas :)
Lui-même avouait qu'en gonflant à 7,5 au lieu de 8 bars ça n'arriverait peut-être pas. Le prochain nom pour l'équipe est tout trouvé: Les "Cales en bars" ou alors un surnom pour Ced qui est aussi le 25% de l'équipe, le "quart en bars"...c'était une blague du même type pour les initiés...:)
En parlant de sa crevaison autours du "Stam" de la B308 Sylvie et Jean-Pierre un collèg
ue de travail échaffaudaient les scénarii si on était victime de pareil situation. La question était de savoir s'il fallait une pompe ou des petites bombonnes d'air comprimé tout en sentant bien qu'en filigrane la posture adoptée était "...de toute façon ça n'arrive qu'aux autres..." chacun ayant une pompe mais à la maison et pas sur le vélo.
La démonstration sera vite faite quelques heures plus tard qu'il faut vraiment avoir une pompe sur soi.
Jeudi 20 soit 1 jour après l'incident de Cédric, je profite de mon après-midi de congé pour revenir par les gorges de l'Areuse. Arrivé juste avant Champ-du-Moulin et l'Auberge de la Truite, j'aperçois en bordure de route un cycliste avec le vélo retourné, "chambre à air" dégentée. Je m'arrête et lui demande s'il a besoin d'aide. Il me dit que si tout allait bien non mais ne sait-on jamais ?
Avant de reprendre la route, j'allais donc m'assurer que le transfert de l'air comprimé de sa bouteille dans la chambre à air allait bien se passer.
Le cycliste était un genevois qui venait de Genève même et qui au compteur de son Garmin, venait de se taper 150 km par le col de l'aiguillon en plus avec 1700 m de dénivelée jusque là. Il avait fait la route avec un ami qui s'en était allé sur la Chaux-de-Fonds alors que lui devait reprendre le train à Neuchâtel pour Genève. Coïncidence, à Genève il habitait à 100 m d'où mon fiston joue au tennis de table avec le ZZ lancy.
Le coup de la bombonne ne "sentait pas bon" et en fait il la vida complétement sans que sa chambre à air n'ait pris du volume. Il fallait donc un plan B qui après avoir fouillé au fond de mon sac à dos allait se dessina en une pompe minuscule mais miraculeuse en la circonstance.
Elle fit l'affaire et après avoir gonflé convenablement le pneu on s'aperçu que la chambre à air était coincée à l'endroit de la valve. On dégonfla tout, poussa la valve vers le haut pour permettre au pneu de passer dessous la chambre à air pour éviter un nouveau pincement.
Après qu'il m'ait décerné le titre de Mc Gyver qui était plutôt flateur on se sépara en se souhaitant bonne chance. C'est aussi rigolo que Mc Gyver revienne dans cette parenthèse car je sais que Cédric est fan inconditionnel du vrai Mc Gyver...!
Conclusion: "ça n'arrive pas qu'au autre" et même si ça arrive aux autres, soyez prêts pour leurs offrir vos services. Ayez donc toujours un outillage minimum avec vous !
Benoît est le premier de l'équipe à avoir mis le pied à étrier du bike to work, il y a de cela 4 ans. Nous avions constitué à l'époque et pour la première fois au CPLN une équipe composée de Pierre, Cédric, Benoît et Daniel. L'aventure n'était alors que sur 1 seul mois.
N'ayant à ce jour reçu aucune anecdote relatée par Benoît, rien à signaler du côté du Vully d'où Benoît part pour enfourcher sa "petite reine" accumulant de substantiels km pour l'équipe bien que ces derniers comptent "pour beurre" si ce n'est l'entraînement personnel et la mise en forme pour l'été ce qui n'est pas négligeable non plus.
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Il y a des années où le mois de mai est pourri et bien 2021 en est une ! Le froid, le vent, les saints de glace et l'humidité tel furent les ingrédients de notre joli mois de mai. S'il y a une balance de la météo alors on se réjouit du moi de juin qui devra être beau, chaud et sec...mmh ...on peut toujours rêver.
Bike to work c'est aussi des temps pourris alors pour y faire face il faut se vêtir correctement et pour ma part je nage dans le luxe puisque le local du chauffage me permet de laisser mes habits et de les faire sécher un minimum. En venant trempé le matin il ne faut pas rêver non plus, à midi et même à 16h, les souliers sont encore mouillés et les habits aussi, c'est la raison pour laquelle il faut non seulement s'habiller "pluie" mais aussi prendre les rechanges adéquats.
Le fait de se forcer de venir par tous les temps est parfait pour moi, je ne suis pas météo-sensible bien que préférant quand même les temps secs, il ne faut pas se mentir. (Sur la photo ci-contre c'était 2 couches d'imperméables légers et un pantalon pluie).
(La photo est prise depuis le Chanet).
Le parcours traditionnel fait tous les jours de l'année en temps normal. Passage dans la forêt du Chanet en dessus du carrefour de Vauseyon puis descente au bord du lac que je longe jusqu'au CPLN essayant de me frayer un passage entre chien, promeneur matinal, et vélo électrique. Plus il fait beau et plus le bord du lac est dangereux.
Le retour, je le fais par la montée pavée du Château jusqu'à Jeanne-de-Hochberg puis le BAP, carrefour de Vauseyon et montée du Chanet.
Ce parcours sera fait plus d'une quinzaine de fois et pèse quand même 52 km et plus de 600 m de dénivelée. Il peut se faire à l'aller le matin lorsque je commence les cours l'après-midi ou au retour le soir lorsque je ne peux le faire le matin.
Ce tracé est chouette puisqu'il mêle de la forêt, de la route de campagne à travers champ, du chemin le long du lac depuis Bevaix au CPLN et un peu de terrain avant la plage de Boudry et la traversée de la rivière. Les gorges de l'Areuse sont toujours spéciales, à la montée ça côte et à la descente ça peut aller très vite mais il faut se méfier des virages cachés, des pierres et ...des écureuils !
Le passage à la pointe du Grain est toujours magnifique et le fleurte avec les ports de Bevaix, Cortaillod, Auvernier, Serrières et Neuchâtel nous envoie en directe des images de vacances.
(Plage de la "Pointe du Grain")
Une petite folie pour rentrer du CPLN, passer par le Creux-du-Van mais en attaquant directement l'ascension depuis Gorgier.
La montée est furieuse, du bas de Gorgier jusqu'à la Grand-Vy, il n'y a pas de plat, ce sont des pentes qui commencent à 11% pour vous mettre en confiance puis elle augmente à 13% puis 15% pour finir à 17% au plus raide ceci durant 1h40 sans aucun répit, il faut serrer les dents.
Une anecdote qu'on ne me l'avait jamais faite…
« J'étais dans un tronçon de 300 m environ à 17% vers la fin de l'ascension. Un motard debout sur sa moto se met à ma hauteur et me dit poliment bonjour "est-ce-que je peux vous pousser" je lui ai répondu net : "non non surtout pas...!" au revoir bonne journée a-t-il conclu.
Je trouve chou que les motards s'occupent des cyclistes mais on voit ici la différence de mentalité entre les 2 fans des 2 roues. Après coup je me suis demandé : mais comment aurait-il fait pour me pousser si j'avais dit oui...? Ils n'ont pas l'électricité à tous les étages ces motards...:) mais plein de bonne intention.
Arrivé à la "Grand Vy", la terrasse n'était pas pleine et de loin, il y avait 2 jeunes en tout et pour tout. Sachant que j'allais avoir une vue plongeante sur le lac, je pousse la virée jusqu'à la "Roche-Devant" et j'apprécie le lieu surplombant le lac dans toute sa splendeur.
Ensuite Cap sur le Creux-du-Van.
Arrivé proche du mur en pierre au bord du site un autre cycliste arrive mais avec un vélo de course. Dans le terrain pour les 200 derniers mètres il avait du courage. On taille une bavette et il me dit qu'il venait initialement de Zürich mais son tour de la journée avait débuté à Bienne puis Macolin, la Vue-des-Alpes, la vallée de la Sagne, descente sur Travers puis montée au Creux-du-Van (plus de 100 km et 3000 m de dénivelée), bref un solide. Il joue au photographe pour prendre quelques photos cool et on discute de nos tours respectifs. Il me dit bien connaître le « Septimerpass » ayant un appartement à Bivio aux Grisons bien entendu, on parle du « Val Mora » et de « l'Alpisella » qui sont des lieux magnifiques entre les Grisons et l'Italie sur la route de « l'Alpine Bike N°1 ». C'était sympa d'échanger avec un connaisseur.
Faisant le chemin des Gorges de l'Areuse dans le sens Peseux -> CPLN (itinéraire long mais à l'envers), lorsque je
me suis retrouvé à Bevaix après le passage de l'autoroute, un engin insolite a attiré mon attention et je me suis arrêté pour en savoir plus. Un bâlois était sur un banc en train de casser la croûte. J'ai taillé une bavette pour en savoir un peu plus sur son engin. Il était venu de Bâle hier faisant environ 130 km et repartait pour Berne en faisant le tour du lac soit environ 100 bornes de plus aujourd'hui. J'avais déjà rencontré pareil engin au Buchenegg non loin de Wädenswil. Le constructeur était le même, largement diffusé au Pays-Bas la source se trouvait à Rapperswil. Son coût environ 10'000 CHF, son poids 25 kg. Sa performance est remarquable au plat mais à la montée, ce n'est pas pour faire des cols. Pas de moteur électrique, que du molet, la classe...!
Oliver son détenteur l'avait depuis 3 semaines et il me disait qu'il pouvait se fondre dans le trafic des automobiles, il était un peu optimiste mais du 40 km/h oui je l'admets, il peut y arriver. Une fois glissé à l'intérieur il ne reste que peu de place pour passer la tête, un petit volant est à portée de main et les pédales tout à l'avant. Je n'ai pas roulé avec mais l'objet est intéressant. On pourrait demander à la Direction de nous sponsoriser l'année prochaine, la couleur de l'engin étant déjà bleu et blanc, les couleurs du CPLN, c'est déjà ça de gagner...
Le "Bike to Work 2021" réserve un lot de surprises intéressantes, I like it...
Pourquoi Cédric serait-il le seul de l'équipe à crever ? Il n'y a aucune raison pour que les membres de l'équipe n'aient pas un élan de solidarité et ne crèvent pas à leur tour ...:) !
C'est en remontant les Gorges de l'Areuse sous une pluie battante et une pente accusant les 12% que dans la montée reliant Champ-du-Moulin à Rochefort j'ai entendu 3 sifflements venant de l'arrière avant de me rendre compte que mon liquide tubeless avait fui laissant sur la chaussée des taches blanches.
Néanmoins ayant délesté assez rapidement le vélo de mon propre poids, et grâce à la "cicatrisation" due au liquide de mastiquage dans le tubeless, j'ai pu conserver assez d'air pour que le vélo puisse me conduire à Montmollin où je connaissais un petit atelier pour voiture dans lequel j'ai pu trouver un peu d'air comprimé pour gonfler mon pneu à 2,5 atm.
L'avantage du pneu tubeless est qu'il peut se cicatriser lors d'une crevaison mais il n'empêche pas une perte d'air
qui doit être assez minime pour pouvoir encore rouler.
J'ai pu ainsi rejoindre mon domicile les mains propres.
Voyant l'état d'usure de mon pneu, j'ai décidé de le changer et les ennuis ont commencés ! J'ai voulu également changé la bande de fond de jante qui était celle d'origine. L'étanchéité du pneu doit être garantie sur chaque rayon, la valve et à l'endroit où le pneu touche la jante sur toute la circonférence.
Dans un premier temps, le vendredi, j'ai expérimenté le montage d'une bande de fond de jante mais qui fuyait. Le pneu mettant 10 minutes pour se dégonfler. Je suis allé acheter une nouvelle valve chez Ruchet à Peseux et j'ai pu vérifier d'où provenaient les fuites, à la fontaine de Corcelles. Les fuites se passaient à l'endroit de quelques rayons et de la valves.
Ci-contre une photo du matériel propre au tubeless:
Arrivé à la maison je me suis dit que pour ne pas être ennuyé j'allais remettre une chambre à air ce que j'ai fait et là tout allait très bien mais dans le futur, le gonflage à 3 ou 3,5 atm n'allait pas me donner un bon confort dans le terrain et de plus, il y aura risque de crevaison par pincement de la chambre à air.
Dimanche matin ne voulant pas m'avouer vaincu, je me suis dit que j'allais tenter de refaire mon fond de jante avec le ruban adhésif adéquat car le noeud du problème devait bien se passer à ce niveau.
Ayant remonté mon tubeless après avoir mis le fond de jante en tendant au maximum le ruban adhésif pour que les extérieurs du ruban soit sans fuite, j'ai testé l'étanchéité dans un lavabo de la buanderie et là j'ai vu qu'il y avait des fuites sur 2 rayons et la valves.
J'ai alors redégonflé mon pneu, j'ai mis du lait mastiquant adéquat (70ml) et j'ai fait tourner ma roue pour bien répartir le liquide. J'ai refait le test dans l'eau et j'ai vu que sur les rayons, c'était colmaté mais il y avait encore la valve qui fuyait. J'ai bougé cette dernière pour essayer de forcer le colmatage et cela a fonctionné. Le gonflage tient maintenant mais la conclusion est la suivante sur le pneu tubless :
Encore une bonne expérience du "Bike to Work 2021"...!
Un grand bravo à chacun qui a donné le meilleur de lui-même dans ce "Bike to work 2021" et ceci avec des conditions pluvieuses au début et sur la fin de l'édition. Les 50% de trajets en vélo sur l'ensemble de l'équipe ont largement été atteints donc l'objectif est réalisé.
Rendez-vous à l'année prochaine pour le BTW 2022, on a déjà les maillots...:)
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